Une réalisation spéciale entachée d’une statuette stéréotypée déclenche une conversation franche entre deux éminents juristes spécialisés en droits de la personne — l’un est une personne transgenre non binaire et l’autre une femme sud-asiatique immigrante de première génération — sur les attentes et les obstacles rigides liés à l’identité de genre qui persistent dans la profession juridique, et sur ce que nous pouvons faire pour créer un espace pour des personnes de divers horizons.

Avec l’arrivée de septembre et l’énergie, l’excitation et, parfois, l’anxiété qu’apporte la saison de la rentrée des livres (et inspiré en partie par l’exclamation de Meg Ryan dans You’ve Got Mail, « J’adore New York en automne. Ça me donne des envies de fournitures scolaires »), nous avons demandé aux membres de tailler leurs crayons, de tourner leur regard vers l’avant et de partager avec nous ce qu’ils aiment ou attendent avec impatience le plus du droit à l’automne.

Avec deux nouveaux postes au sein de chacun de nos 40 comités exécutifs de section, l’ABO fait de nouveaux progrès dans la promotion de la diversité et de l’inclusion au sein de l’association.

Nous avons demandé à des membres de nous raconter une fois où ils ont pu rencontrer un de leurs héros ou de nous parler d’un de ceux qu’ils aimeraient le plus rencontrer. Les réponses montrent les nombreuses formes que prennent les modèles et les innombrables façons dont une rencontre fortuite peut changer une journée ou même une carrière.

La Cour, qui a le dernier mot sur de nombreuses questions touchant les Canadiens de tous les horizons, devrait refléter la diversité de notre pays. Pourquoi ? Parce que nous savons qu’une magistrature diversifiée ne fait que renforcer la confiance du public envers notre système juridique, et que la diversité améliore la qualité des décisions prises par ces juges.

Permettez-moi de vous présenter à nouveau Samantha Peters (elle/iel/ellui), qui n’est pas étrangère aux projecteurs. Samantha, qui s’identifie fièrement comme une fem noire queer, a eu un impact palpable sur la profession juridique en raison de son approche novatrice et rebelle de la pratique du droit et de la façon apparemment intrépide dont elle navigue dans les marges que la société canadienne contemporaine impose à ses identités croisées.

Voici les raisons pour lesquelles nous devrions appliquer les principes du rassemblement intentionnel et du remue-méninges collectif, ainsi que la philosophie « Je suis, parce que nous sommes », pour continuer à sensibiliser et à appeler à l’action, à briser les barrières et à célébrer l’excellence noire, à nous élever en montant et à éclairer le chemin pour les autres chaque jour.

Le 25 novembre 2021, devant un auditoire de 70 admirateurs, l’ABO a remis à Mary Jo Nolan le prix d’excellence en matière de mécanismes extrajudiciaires de règlement des conflits (MRC) lors d’une cérémonie virtuelle que j’ai eu l’honneur de présider à la fois comme auteure de sa candidature et comme présidente de l’exécutif de la section MRC de l’ABO.

Après avoir assisté à la conférence annuelle sur la diversité de la RODA en partenariat avec l’ABO, Celeste M. Young examine comment le croisement de l’alliance consciente et de la défense des droits peut être le catalyseur de l’action et comment les avocats peuvent s’unir pour faire avancer des changements importants.

Les nouvelles mémoires autobiographiques franches de la célèbre avocate de la défense pénale Marie Henein ont constitué la base d’un événement fascinant du Club de lecture de l’ABO. Présente virtuellement et répondant à des questions sur des sujets aussi variés que la perception du droit par le public ou les doubles standards dont souffrent les femmes puissantes, Marie Henein a été à la hauteur de sa réputation de franchise et d’acuité.