Une discussion sur l’impact discriminatoire de la règle de la famille unique sur la base de l’orientation sexuelle, la compétence non établie du TDPO sur la question, et les implications plus larges pour la collectivité 2SLGBTQ+.

Lors d’un événement du club de lecture communautaire de l’ABO, les avocats Andrew Stobo Sniderman et Douglas Sanderson, auteurs de Valley of the Birdtail, ont mis en lumière le pouvoir du récit pour changer les cœurs, les esprits et les choix politiques, le sacrifice réel que la réconciliation exige et l’action qu’ils espèrent que leur travail révélateur inspire.

Alors que nous approchons de la fin de l’année — souvent considérée comme « la saison des dons » — nous avons demandé aux membres de partager une façon dont ils aiment redonner, que ce soit à leurs collectivités locales ou professionnelles ou au grand public.

Le Festival international du film de Toronto 2022 s’est ouvert avec la première mondiale du film Les Nageuses, basé sur l’histoire vraie de deux sœurs qui se sont échappées de Syrie après le début de la guerre dans le but de se rendre en Allemagne. Pour cette avocate spécialisée en droit de l’immigration, il s’agissait d’un rappel utile des réalités auxquelles sont confrontés de nombreux demandeurs d’asile, pendant leur voyage physique et aussi une fois qu’ils ont atteint leur destination.

Apprendre en enseignant, s’engager auprès de sa collectivité, améliorer l’accès à l’information juridique et rehausser le profil de sa pratique ne sont que quelques-unes des raisons pour lesquelles la participation à des séminaires publics en novembre — et au-delà — en vaut la peine.

Une réalisation spéciale entachée d’une statuette stéréotypée déclenche une conversation franche entre deux éminents juristes spécialisés en droits de la personne — l’un est une personne transgenre non binaire et l’autre une femme sud-asiatique immigrante de première génération — sur les attentes et les obstacles rigides liés à l’identité de genre qui persistent dans la profession juridique, et sur ce que nous pouvons faire pour créer un espace pour des personnes de divers horizons.

Avec l’arrivée de septembre et l’énergie, l’excitation et, parfois, l’anxiété qu’apporte la saison de la rentrée des livres (et inspiré en partie par l’exclamation de Meg Ryan dans You’ve Got Mail, « J’adore New York en automne. Ça me donne des envies de fournitures scolaires »), nous avons demandé aux membres de tailler leurs crayons, de tourner leur regard vers l’avant et de partager avec nous ce qu’ils aiment ou attendent avec impatience le plus du droit à l’automne.

Avec deux nouveaux postes au sein de chacun de nos 40 comités exécutifs de section, l’ABO fait de nouveaux progrès dans la promotion de la diversité et de l’inclusion au sein de l’association.

Nous avons demandé à des membres de nous raconter une fois où ils ont pu rencontrer un de leurs héros ou de nous parler d’un de ceux qu’ils aimeraient le plus rencontrer. Les réponses montrent les nombreuses formes que prennent les modèles et les innombrables façons dont une rencontre fortuite peut changer une journée ou même une carrière.

La Cour, qui a le dernier mot sur de nombreuses questions touchant les Canadiens de tous les horizons, devrait refléter la diversité de notre pays. Pourquoi ? Parce que nous savons qu’une magistrature diversifiée ne fait que renforcer la confiance du public envers notre système juridique, et que la diversité améliore la qualité des décisions prises par ces juges.