Utilisés dans les services financiers, les robots-conseillers fournissent des conseils de gestion d’actifs selon un algorithme automatisé, remplaçant les conseillers financiers de chair et d’os.
Joseph Groia, Siobhan Mullan et Malcolm Mercer observent ce phénomène et se demandent s’il pourrait s’appliquer aux services juridiques. Les robots-conseillers seraient-ils une menace pour la profession, ou amélioreraient-ils l’accès à la justice ?